APEIS FINISTERE: Comité de Châteaulin pour une Alternative au Capitalisme: Chômeurs : grève contre l'isolement

Comités locaux

Liste des comités locaux de l’APEIS

CHER

Bourges 8, rue Galilée Tel : 02 48 69 82 36
Tous les jours : 9h à 12h et 14h à 17h

CREUSE

Gueret 7, rue de Paris Tel : 05 55 41 77 48
Sur rendez-vous

FINISTÈRE

Brest 13, rue du Professeur Chrétien Tel : 06 14 24 92 29
Mercredi : 14 h à 17 h

Plonevez Porzay 7, place de l’Église Tel :
Sur rendez-vous

GIRONDE

Bègles 78, rue du Chevalier de la Barre Tel : 05 56 49 24 58
Tous les jours : 14 h à 18 h

Blanquefort Tel : 05 56 49 24 58
Sur rendez-vous

Langon 91, cours Mal de Tassigny Tel : 05 56 62 22 08
Sur rendez-vous

ILE DE LA RÉUNION

Saint-Denis Maison des chômeurs Résidence Les Flamboyants 39, bd de la Caussade Appt 9
Tous les jours : 9h à 12h et 14h à 17h

LANDES

Mont-de-Marsan c/oCLE 24, bd Ferdinand Candau Tel : 05 58 46 40 19
E-mail : clesmdm@wanadoo.fr
Sur rendez-vous

LOIRE

Saint-Etienne 37, rue Camélinat Tel : 06 83 28 82 17
E-mail : apeis42@wanadoo.fr
Tous les après-midi de 14h à 18h

MORBIHAN

Lanester Ancienne Mairie - Place Penvern Tel : 02 97 81 02 48
Lundi et jeudi : 14h à 18h

PARIS

Paris 20 ème 11 rue des Couronnes Tel : 0953773595
Fax : 0958773595 - E-mail : apeis.paris@gmail.com
Lun 10H00 - 18H00 Mar 10H00 - 15H00 Mer 9H30 - 11H30
Jeu 10H00 - 18H00 Ven 10H00 -12H00

SARTHE

Bouloire 76, rue Nationale Tel : 06 19 09 81 38 Tel/fax : 02 43 35 95 01

La Ferte Bernard 48, rue d’Huisne Tel : 06 19 09 81 38

Le Mans 4, place d’Arcole Tel : 06 19 09 81 38

SEINE-SAINT-DENIS

Bobigny 24, rue Pabio Picasso Tel : 01 48 30 28 81 Fax : 01 41 50 30 41

E-mail : apeis2@wanadoo.fr
Tous les jours : 9h à 12h et 14h à 17h

La Courneuve 60, rue de la Convention Tel : 01 48 38 92 16 Fax : 01 48 38 31 83
E-mail : apeis60@wanadoo.fr
Tous les jours :9h à l2h et l4h à l8h

Pantin 2, av. Edouard Vaillant Tel : 01 49 91 95 33
Les mardis : 9h à 12h et 14h à 17h

Saint-Denis 9-11 rue Génin Tel : 01 55 84 41 65 Fax : 01 55 84 41 49
E-mail : apeis.saintdenis@gmail.com
Tous les jours : 9h à 12h et 14h à 17h

Saint-Ouen 117, rue du Dr Bauer
Tous les jours : 9h à 12h et 14h à 18h

Stains 5, bd Maxime Gorki Tel : 01 48 29 56 80
E-mail : stains.apeis@free.fr
Tous les jours : 9h à 12h et 14h à 18h

VAL-DE-MARNE

Fontenay-sous-Bois 12 bis, rue Charles Garcia Tel : 01 48 75 89 00
Lundi et mardi : 9h à 17h

Gentilly 6, rue Robert Marchand Tel : 01 45 47 58 73
Tous les jours : 9 h à 12 h

Ivry-sur-Seine Bourse du travail Place Gérard Philippe

Limeil Brévannes 1, rue Henri Barbusse Tel : 01 56 32 01 16
Sur rendez-vous

Villejuif 17, rue Paul Bert Tel : 01 46 78 54 51
Tous les jours : 9 h à 12 h

Vitry-sur-Seine 2 bis, avenue Ambroise Croizat Tel : 01 46 80 69 35
Tous les jours : 9 h à 12 h E.Mail : apeis3@wanadoo.fr

VAL D’OISE

Bezons 113, rue Rouget de l’isle Tel : 01 34 10 20 07
Sur rendez-vous

HAUT-DE-SEINE

Rueil-Malmaison Riquelme Alain 17 av. de Fouilleuse Tel : 01 47 49 45 75 E.Mail : riquelme.alain@numericable.fr
sur rendez-vous

Actualité à Brest « Le handicap m'empêche de trouver un emploi »

Yannick, victime d'un handicap depuis 2004, est toujours en recherche d'un emploi.

Yannick veut remuer les consciences. Responsable départemental de l'Association pour l'emploi, l'information et la solidarité, il témoigne.

Mon handicap est né en 2004 de ce que je considère comme un accident du travail mais qui n'a jamais été reconnu comme tel.

Je travaillais en tant qu'agent d'entretien dans une entreprise de nettoyage à Brest. J'étais régulièrement amené à porter des charges lourdes. Et un jour, après six ans de travail, mes cinq disques dorsaux se sont compressés.

De l'hôpital des Armées au rhumatologue : j'ai tout essayé pour diminuer la douleur, mais rien n'a joué. Mon mal de dos ne se guérit pas. À l'heure actuelle, je suis sous antalgiques (NDLR. médicaments contre la douleur) et j'effectue une heure de stimulation électrique journalière pour me soigner. Mes journées sont rythmées par mon handicap : je dois sans cesse alterner deux heures debout et deux heures assis pour supporter la douleur. J'ai été reconnu travailleur handicapé avec un taux d'incapacité permanente compris entre 50 et 79 %.

« Conserver mon honneur »

Depuis mon licenciement, pour inaptitude au travail, je navigue de galère en galère. On m'a orienté vers différentes structures qui s'occupent de l'insertion professionnelle des handicapés mais ça n'a abouti à rien. J'ai notamment été suivi par Ohé Prométhée, une association qui accompagne les personnes handicapées dans leur recherche d'emploi. Mais là encore ça n'a rien donné, on nous aide surtout à développer nos projets professionnels mais il n'y a rien de très concret derrière.

On m'a proposé un poste de cuisinier mais c'était totalement incompatible avec ma situation puisque j'aurais été amené à porter des charges lourdes et à rester debout une bonne partie de la journée. Dans ces moments-là, j'ai l'impression qu'on se moque de moi. Mais je ne perds pas espoir.

« Je ne veux rien cacher »

L'invisibilité de mon handicap pousse certaines personnes à me traiter de fainéant. Alors pour faire face aux réactions et conserver un certain honneur, j'ai suivi une formation dans la reprographie et le graphisme. Pour ne pas perdre la main, je réalise bénévolement quelques plaquettes pour des associations. Mais je compte bien trouver du travail rapidement. Alors, tous les matins, je me connecte sur le site internet de pôle emploi pour regarder les annonces et déposer des candidatures spontanées.

Je prends soin de mentionner mon handicap sur mon curriculum vitae, je ne veux rien cacher à l'employeur. Je reste souvent sans réponse. J'ai l'impression que ma situation de handicapé m'empêche de trouver un emploi alors qu'elle ne le devrait pas.

Frédéric Zeitoun, journaliste handicapé, a formulé une phrase très juste que je reprends à mon compte : « Je ne suis pas handicapé, c'est la société qui me handicape.»

De la même façon, il me paraît réducteur, mais néanmoins réaliste, de nous faire travailler systématiquement au sein de structures adaptées telles que les Centres d'aide par le travail (CAT) alors qu'une loi pour l'insertion professionnelle existe. La loi handicap 2005 prévoit l'embauche d'au moins 6 % de personnes handicapées au sein d'une entreprise d'au moins 20 salariés. Une préoccupation naturelle qui ne semble toujours pas appliquée.

• Dans le cadre du forum sur les journées mondiales des travailleurs handicapés, un rendez-vous est organisé mi-novembre à l'université Segalen sur la question de l'insertion professionnelle dans le domaine public.

27 mai 2010

Comité de Châteaulin pour une Alternative au Capitalisme: Chômeurs : grève contre l'isolement

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greve des chômeur

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Manifestation contre le chômage à Rennes (5/12/09)...

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manif du 20 novemre 2009

Brochure de témoignages sur la répression de la manifestation des chômeurs et précaires du 5 décemb

parodie sur l'eau

Brest en marche contre l'injustice sociale

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