27 mai 2010
23 mai 2010
05 avril 2010
Appel à mobilisation générale contre les politiques de l'emploi
Du 20 novembre au 5 décembre 2009, de nombreuses associations et collectifs ont participé
aux Marches contre le chômage, la précarité et les licenciements.
Les actions, occupations et manifestations qui ont eu lieu ont permis de constituer la base
d'une mobilisation plus vaste qui doit désormais être mise en mouvement.
La Coordination régionale de Bretagne réunie le 20 février, représentant 6 villes, a fait le
constat de la situation insoutenable faite aux chômeur-se-s, précaires et salarié-e-s.
. 1 million de personnes en fin de droits en 2010, dont 400 000 sans aucun revenu,
. déstructurations du service public de l'emploi avec la fusion ANPE-Unedic,
. le 3949,
. les pressions exercées sur les chômeur-se-s avec, entre autres, l'Offre raisonnable
d'emploi,
. la politique de radiation et le passage du RMI au RSA...
ne sont qu'un aperçu des politiques de l'emploi appliquées aujourd'hui.
Nous appelons à une mobilisation générale
contre ces politiques de l'emploi par un signal fort dès le 3 mai 2010
Toutes les organisations qui souhaitent s'inscrire dans ce mouvement doivent s'organiser et se
coordonner partout où cela est possible.
La Coordination régionale bretonne du 13 mars :
AC! Rennes, AC! Trégor, APEIS Finistère, MCPL Rennes, Collectif brestois En marche contre
l'injustice sociale, AC! Saint-Brieuc, AC! Brest, AC! Quimper, SEMCIS Trégor.
04 avril 2010
6 éme CONGRES NATIONAL DE L’APEIS LES 30 AVRIL, 1er et 2 MAI 2010 IVRY-SUR-SEINE
Les luttes contre l' injustices sociale de plus en plus présente sur le terrain de Brest à Paris en passent par Bordeaux ou Marseille les chômeur(e)s les précaires vivent de plus en plus mal pendant que des patrons joue avec leur milliard d'autre cherche a finir au mieux leur mois pour manger et surtout ne pas avoir de dettes auprès de telle ou telle service .
Nous voulons pas être les pions de cette société injuste nous somme les acteurs et nous devons nous levés tous et crier notre colère L'APEIS lance le débat avec sont 6éme congrès National le 30avril au 2 mai à Ivry sur seine . Une délégation du Finistère se rendras a ce congrès pour faire vivre nos moment de lutte avec le collective Brestois en marche contre l'injustice sociale et vivre les lutte des autre région de France . Nous rappelons que nous somme toujours chaque Mercredi de 14h a 16h 30 au centre social de Pen ar Créac'h au 13 rue du professeur chrétien Brest
ou au 06 14 24 92 29 pour pour aidé au mieux a préservé vos droit et étudier la possibilité des droit nouveaux .
Appel du 3 mai CHÔMEUR-EUSE-S, PRÉCAIRES, SALARIÉ-E-S, TRAVAILLEUR-EUSE-S HANDICAPÉ-E-S, GALÉRIEN-NE-S DU QUOTIDIEN,
* Parce que nous ne sommes ni des statistiques, ni des numéros
* Parce que y'en a marre d'être infantilisé-e, fliqué-e, culpabilisé-e
* Parce que y'en a marre des ateliers bidons, des simulations d'entretiens, des bilans de compétences, des stages sans lendemain ou autres EMT (Évaluations en Milieu de Travail : 70h de travail bénévole)
* Parce que y'en a marre de se priver de tout (loisirs, culture, petits plaisirs)
* Parce que y'en a marre de la précarité et du chômage
* Parce que ces politiques de l'emploi se résument désormais à une machine à broyer les chômeur-euse-s et les salarié-e-s
PARCE QUE Y'EN A MARRE DE LA SURVIE
RÉAPPROPRIONS-NOUS NOS VIES
ORGANISONS-NOUS, MOBILISONS-NOUS
RETROUVONS-NOUS LE 3 MAI 2010
à l'appel de la Coordination Régionale des Chômeur-euse-s et Précaires de Bretagne
mobilisation générale contre ces politiques de l'emploi par un signal fort
Café-tracts devant le Pôle Emploi de l'Observatoire tous les vendredis de 10H à 12H
Rejoignez-nous à l'AG, tous les mardis 20H au Patronage Laïque Guérin, 1 rue Alexandre Ribot, pour se préparer et agir
* Parce que y'en a marre d'être infantilisé-e, fliqué-e, culpabilisé-e
* Parce que y'en a marre des ateliers bidons, des simulations d'entretiens, des bilans de compétences, des stages sans lendemain ou autres EMT (Évaluations en Milieu de Travail : 70h de travail bénévole)
* Parce que y'en a marre de se priver de tout (loisirs, culture, petits plaisirs)
* Parce que y'en a marre de la précarité et du chômage
* Parce que ces politiques de l'emploi se résument désormais à une machine à broyer les chômeur-euse-s et les salarié-e-s
PARCE QUE Y'EN A MARRE DE LA SURVIE
RÉAPPROPRIONS-NOUS NOS VIES
ORGANISONS-NOUS, MOBILISONS-NOUS
RETROUVONS-NOUS LE 3 MAI 2010
à l'appel de la Coordination Régionale des Chômeur-euse-s et Précaires de Bretagne
mobilisation générale contre ces politiques de l'emploi par un signal fort
Café-tracts devant le Pôle Emploi de l'Observatoire tous les vendredis de 10H à 12H
Rejoignez-nous à l'AG, tous les mardis 20H au Patronage Laïque Guérin, 1 rue Alexandre Ribot, pour se préparer et agir
23 janvier 2010
Avec L' APEIS Finistère Plus Jamais Seul !!!
Depuis le mois d'octobre dernier, l'Apeis Finistère participe activement aux luttes avec le Collectif En Marches contre l'Injustice Sociale.
Nos actions ont été les suivantes:
les occupations des Pôles emploi pour aidez les privées d'emploi à retrouvé leurs droits,
C'est aussi l'occupation pendant dix jours de la mairie de Brest où nous avons demandé au maire de Brest de prendre position sur l'avenir des chômeurs et des précaires,
Enfin, c'est aussi la manifestation du 5 décembre2009 (ou) dont nous retenons tous que le droit de s'exprimer devient de plus en plus dur car les autorités ont envoyé la police sur les pauvres de la société .
L' APEIS Finistère en 2010 seras encore plus présente pour lutter contre toute injustice sociale que les chômeurs et les précaire aurons à subir par les différentes administrations (Pôle emploi, CAF, Centre des Impôts (et ex)....).
Un petit message à nos élu(e)s locaux et du département(s) (et local):
Oui nous sommes chaque jour au plus près des personnes exclues de la société
Oui de notre association, ces personnes en ont besoin pour retrouver un endroit d'espoir ou enfin la justice sociale est présente .
Venez nous voir(e), boire un café ou autre pour vous rende compte que nous sommes utiles sur le terrain.
2009 n'a pas été facile par manque de subvention, notre seul revenue a été les cotisations de nos adhérents.
Une petite aide financière serait la bienvenue pour vivre et en espérant que vous les élu(e)s vous voterez enfin une subvention à notre association pour 2010 .
Afin que L'Apeis puisse sortir(e) encore de difficultés matérielles en ce début d'année, nous demandons à ceux qui ont encore un peu(x) de solidarité dans leur cœur (nous leur demandons) un petit coup de pousse:
Je verse la somme de ............€ à l'ordre de l'association APEIS
Nos actions ont été les suivantes:
les occupations des Pôles emploi pour aidez les privées d'emploi à retrouvé leurs droits,
C'est aussi l'occupation pendant dix jours de la mairie de Brest où nous avons demandé au maire de Brest de prendre position sur l'avenir des chômeurs et des précaires,
Enfin, c'est aussi la manifestation du 5 décembre2009 (ou) dont nous retenons tous que le droit de s'exprimer devient de plus en plus dur car les autorités ont envoyé la police sur les pauvres de la société .
L' APEIS Finistère en 2010 seras encore plus présente pour lutter contre toute injustice sociale que les chômeurs et les précaire aurons à subir par les différentes administrations (Pôle emploi, CAF, Centre des Impôts (et ex)....).
Un petit message à nos élu(e)s locaux et du département(s) (et local):
Oui nous sommes chaque jour au plus près des personnes exclues de la société
Oui de notre association, ces personnes en ont besoin pour retrouver un endroit d'espoir ou enfin la justice sociale est présente .
Venez nous voir(e), boire un café ou autre pour vous rende compte que nous sommes utiles sur le terrain.
2009 n'a pas été facile par manque de subvention, notre seul revenue a été les cotisations de nos adhérents.
Une petite aide financière serait la bienvenue pour vivre et en espérant que vous les élu(e)s vous voterez enfin une subvention à notre association pour 2010 .
Afin que L'Apeis puisse sortir(e) encore de difficultés matérielles en ce début d'année, nous demandons à ceux qui ont encore un peu(x) de solidarité dans leur cœur (nous leur demandons) un petit coup de pousse:
Je verse la somme de ............€ à l'ordre de l'association APEIS
18 janvier 2010
Quelle année sera 2010 ?
Au moment des vœux, souvent sincères, que nous échangeons avec nos proches mais aussi avec nos connaissances, nous entendons ceux de certains politiques qui nous souhaitent le meilleur et oeuvrent au pire.
Ca licencie, ça restructure, ça délocalise, ça précarise à tour de bras, des millions d’avenir sont bouchés, les urgences se bousculent quand dans le même temps les profits et bénéfices des grandes entreprises continuent d’exploser.
Ils se succèdent pour nous annoncer une sortie de crise, et si c’est pas sur c’est quand même peut-être, en nous demandant au passage de prendre notre mal en patience et d’accepter de faire des efforts et des sacrifices.
Mais on n’en peut plus des efforts et des sacrifices, beaucoup trop de femmes, d’hommes, de familles, n’ont plus rien à donner et sont déjà en état de survie.
Alors on vous souhaite quand même une bonne année, la santé en priorité, puis des relations sociales de qualité, dans le respect et le partage, des conditions décentes d’existence pour toutes et tous, des perspectives et de l’espoir.
Mais 2010 sera ce que nous en ferons, tout est possible, même le meilleur dans la solidarité quand on nous prépare le pire dans l’individualisme, ne les laissons pas faire, n’acceptons plus l’inacceptable.
Bonne luttes, et à très bientôt
L’APEIS
Ca licencie, ça restructure, ça délocalise, ça précarise à tour de bras, des millions d’avenir sont bouchés, les urgences se bousculent quand dans le même temps les profits et bénéfices des grandes entreprises continuent d’exploser.
Ils se succèdent pour nous annoncer une sortie de crise, et si c’est pas sur c’est quand même peut-être, en nous demandant au passage de prendre notre mal en patience et d’accepter de faire des efforts et des sacrifices.
Mais on n’en peut plus des efforts et des sacrifices, beaucoup trop de femmes, d’hommes, de familles, n’ont plus rien à donner et sont déjà en état de survie.
Alors on vous souhaite quand même une bonne année, la santé en priorité, puis des relations sociales de qualité, dans le respect et le partage, des conditions décentes d’existence pour toutes et tous, des perspectives et de l’espoir.
Mais 2010 sera ce que nous en ferons, tout est possible, même le meilleur dans la solidarité quand on nous prépare le pire dans l’individualisme, ne les laissons pas faire, n’acceptons plus l’inacceptable.
Bonne luttes, et à très bientôt
L’APEIS
28 novembre 2009
Pas de vacances pour tous_!
Les juilletistes sont dans les starting -block afin de profiter enfin d’un repos souvent mérité. Les aoûtiens commencent à envisager de décompresser et d’évacuer un temps les soucis du quotidien. Dans le même temps le nombre de chômeurs explose, par dizaines et centaines de milliers, ils affluent dans les Pôles emploi, mais circulez y a rien à voir mise à part des contrôles, et surtout rien à gagner ou si peu en termes de droits. Bien sûr pas mal de ces nouveaux chômeurs, pas encore trop touchés financièrement vont réussir à partir mais la peur au ventre, avec l’angoisse du devenir et de l’avenir chevillé au cerveau. Evidemment, pour certains de plus en plus nombreux les vacances seront dans la famille ou chez des amis pour réduire les frais, mais il y aura tout de même une parenthèse entre exploitation et précarité. Vous pouvez toujours espérer que cela aille mieux en tablant sur l’efficacité du remaniement ministériel, non bien sûr je plaisante. Rien ne viendra de là si ce n’est malgré les déclarations et les effets d’annonces, plus de difficultés, plus de précarité pour les pauvres et la majorité des salariés et toujours plus de fric pour les exploiteurs et les dominants. Et pendant les deux mois de cet été ne comptez pas sur une trêve, bien au contraire. Les licenciements vont continuer et la précarité va encore gagner du terrain. L’objectif des patrons étant de faire toujours plus de profit, le moyen retenu par le Medef et leurs amis du gouvernement est de faire baisser le prix du travail.
Le chômage augmente encore et encore...
Les chiffres du chômage du mois d’octobre sont sortis. Ils sont mauvais : 52 400 personnes se sont inscrites en catégorie A, c’est-à-dire sans aucune activité dans le mois, elles étaient 21 600 au mois de septembre. C’est dire que le rythme s’accélère et qu’avant Noël beaucoup de vies supplémentaires seront brisées.En catégorie A on arrive donc à 2 627 300 chômeurs. Si on ajoute les catégories B et C (personnes ayant eu une activité dans le mois), ce chiffre passe à 3 788 200. Si l’on ajoute les Dom, on passe la barre des 4 millions, précisément 4 019 700.Et ne sont pas comptés les chômeurs de longue durée et les chômeurs âgés, les gens en stage, les personnes malades, même très peu de temps, les découragés qui ne pointent plus, ceux qui ne s’inscrivent pas. Là on arriverait aux 10 millions.Tandis que les amis de Sarkozy et, peut-être sa famille, seront à Gstaad et s’empiffreront de foie gras, de chapons, de champagne d’autres n’auront pas grand-chose à manger et n’auront pas le moral car ceux là savent que leur détresse n’est pas passagère ; que la galère va durer parce-que l’on ne retrouve pas du travail facilement et que, si l’on en trouve, c’est où à 10 km, 50 "> Et à quel prix ?Tout cela n’a pas empêché Henri Proglio, à la tête D’EDF d’augmenter son salaire de 45 % !!!Vendredi 27 novembre 2009 Christiane GRAVE Porte parole de l’Apeis
25 novembre 2009
APEIS Finistère
L’APEIS, c’est être défendu(e), soutenu(e), accompagné(e)
dans vos démarches auprès du pôle emploi, de la CAF, … pour vos droits, un trop perçu, une radiation… C’est des renseignements, des informations, de l’écoute, de l’échange, un café, de l’amitié, des aides pour la recherche d’emploi, pour rédiger un CV, une lettre de motivation, remplir un dossier…
Mais si l’accompagnement social pour faire valoir un droit reste une constante de l’APEIS, il nous amène dans d’autres services que le pôle emploi Ainsi, les militantes et militants de l’APEIS interviennent régulièrement auprès des CAF, de la sécu, des perceptions… Il est de nouveau très courant que nous soyons contraints d’intervenir auprès d’EDF pour un rétablissement de l’énergie.
On notera d’ailleurs que cette reprise des coupures concernant des familles connues pour avoir des tout petits revenus correspond à une volonté d’imposer des compteurs à 3 KW voire 1 KW. C’est bien connu : petite vie, petite ressource, petite consommation… Entre se chauffer ou cuisiner, il faut choisir.
L’APEIS intervient également auprès des services préfectoraux, soulevant ainsi la question de l’accès au logement social et agit contre les expulsions locatives.
Des droits à (re)conquérir.
Depuis 25 ans, les droits des salariés licenciés ont été rognés. Jusqu’en 1979 un salarié licencié économique bénéficiait de 90 % de son salaire antérieur.
Les choix économiques du patronat, la gestion du personnel en terme de coût, a entraîné des vagues de licenciements successives, très fortes au nom de la rentabilité, de la concurrence…
Toujours très forts dans les campagnes idéologiques, les patrons ont fait passer l’idée que le salarié était content de bénéficier de 90 %. Autrement dit le salarié licencié devenait chômeur professionnel. A force de le répéter, beaucoup l’ont cru…
Du coup, les patrons ont ramené à 70 % du salaire antérieur l’indemnisation puis c’est passé à 57, 4 % et licenciement économique ou pas, c’est pareil.
1992 a vu la dégressivité apparaître. Elle s’est aggravée en 1993, diminuant considérablement la durée des droits.
Grâce à nos associations et syndicats, la dégressivité a été supprimée, après des mois de luttes.
Victoire de courte durée puisque 2003 voit une amputation des durées d’indemnisation incroyable. Il est à se demander comment des syndicalistes peuvent signer des textes pareils…
Hormis la C.G.T. et F. O., tous ont signé.
Le MEDEF tire tout vers le bas avec l’appui de syndicalistes. C’est d’autant plus révoltant.
Si nous ne voulons pas être réduits en esclavage, il faut réagir tout de suite et construire
des solidarités
Les choix économiques du patronat, la gestion du personnel en terme de coût, a entraîné des vagues de licenciements successives, très fortes au nom de la rentabilité, de la concurrence…
Toujours très forts dans les campagnes idéologiques, les patrons ont fait passer l’idée que le salarié était content de bénéficier de 90 %. Autrement dit le salarié licencié devenait chômeur professionnel. A force de le répéter, beaucoup l’ont cru…
Du coup, les patrons ont ramené à 70 % du salaire antérieur l’indemnisation puis c’est passé à 57, 4 % et licenciement économique ou pas, c’est pareil.
1992 a vu la dégressivité apparaître. Elle s’est aggravée en 1993, diminuant considérablement la durée des droits.
Grâce à nos associations et syndicats, la dégressivité a été supprimée, après des mois de luttes.
Victoire de courte durée puisque 2003 voit une amputation des durées d’indemnisation incroyable. Il est à se demander comment des syndicalistes peuvent signer des textes pareils…
Hormis la C.G.T. et F. O., tous ont signé.
Le MEDEF tire tout vers le bas avec l’appui de syndicalistes. C’est d’autant plus révoltant.
Si nous ne voulons pas être réduits en esclavage, il faut réagir tout de suite et construire
des solidarités
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